Les élèves de Saint Georges ont été invités, par classe, à arborer une couleur pour cette journée. Une couleur par niveau a été décidée, et les classes ont obtenu une récompense par niveau pour l’équipe à féliciter. Bravo à eux ! Découvrez les 3e C, 4e D, 5e C et 6e A :
Félicitations à tous pour avoir participé avec bon esprit !
Aujourd’hui 27 septembre, nous sommes bien arrivés à La Rochelle. On déguste notre pique-nique à la plage des Minimes. En arrière fond, le port de La Palice. Sur la gauche, une réplique du phare du « bout du Monde » (petite cabane). On voit aussi le navire des affaires maritimes qui surveille l’entrée du port de La Rochelle.
Eurêka ! Notre voyage se transforme en expédition. Deux élèves viennent de découvrir une nouvelle espèce de dinosaure. Ils ont décidé de lui donner leur nom : cassiuszacharius.
Bravo aux élèves. Le collège est aussi le lieu où naissent des vocations. D’autres ont fait des découvertes plus prosaïques : une glace à la boulangerie.
Nous élèves scientifiques ont découvert une météorite. Ils l’ont appelée « Zachariuscassius » et cela pendant que les autres contemplaient les tours de La Rochelle.
Visite de la ville en autonomie. Les élèves du premier groupe ont trouvé les trois lieux : la bourse, la cathédrale Saint Louis et l’hôtel particulier de Fleuriau ou Musée du Nouveau Monde.
Aujourd’hui 28 septembre, réveil en pleine forme après une nuit réparatrice. Beau temps ce matin sur le port de La Rochelle. Première partie de la journée est consacrée aux visites des trois tours de La Rochelle.
Quelques photos de la Tour Saint-Nicolas.
Départ pour le fort Boyard. Superbe journée ensoleillée. Les élèves ont pris des couleurs. On navigue sur La Maligne.
29 septembre, 3ème et dernière jour. Visite du musée maritime et de l’aquarium. Magnifique musée maritime où il est possible de découvrir un navire métrologique, le France 1 et notamment sa salle des machines.
Petite devinette : sur un navire , les tuyaux sont de couleurs différentes et cela en fonction du liquide ou du gaz transporté. A quoi correspond un tuyau bleu, jaune, vert violet ou noir? Réponse ce soir à 19h39 à Montparnasse.
Fin de voyage. Dernier comptage devant la gare. On prend le train dans une heure. Bravo à tous pour toutes ces marches. Aujourd’hui, nous fêtons deux anniversaires Haïssam et Émile.
Ce soir, les parents d’élèves de 3e ont été invités à une réunion d’information sur l’orientation et le choix de lycées privés.
Une première partie a consisté en la présentation du déroulé de l’année, avec les dates importantes à retenir pour les inscriptions, avec la projection de ce diaporama.
Dans une deuxième partie, les chefs d’établissement (ou leur représentant) des lycées L’Initiative, Saint Jean de Montmartre, Rocroy, Bossuet, La Madone, Sainte Louise, Saint Pierre Fourier et Saint Thomas d’Aquin, ont pu présenter les spécificités des cursus qu’ils proposent.
Pour la deuxième année consécutive, nos élèves de 6e et de 5e de l’AS ont pu profiter des joies des sports nautiques à l’CUPA de la Presqu’île de Giens. Au programme : catamaran, paddle, kayak, vélo et baignades ! Nous avons passé une semaine inoubliable, les pieds dans l’eau sous le soleil du Var. A l’année prochaine pour de nouvelles aventures !
En ce mois de mars 2023, la classe de 3B est partie une petite semaine en Norvège pour un échange linguistique en anglais.
Comment décrire ce pays ? Enneigé pour sûr durant notre séjour ! Même notre avion atterrit sous la neige et nous goûtons dès l’arrivée aux joies des flocons sur la langue.
Après les retrouvailles avec nos correspondants (qui ont déjà passé une semaine en France), nous profitons des sièges chauffants d’une Tesla, voiture très répandue en Norvège et qui roule également très aisément (parfois même toute seule!) sur la neige.
Le choc des cultures est inévitable mais nos familles d’accueil sont heureusement loin d’être aussi caricaturées que sur ce livre trouvé à l’aéroport ! La timidité du début est vite envolée et on rigole rapidement de tout en se sentant à l’aise.
Nous goûtons à la nourriture locale (viande d’élan, brown cheese, etc.) avec curiosité même si nous n’apprécions pas tout.
Nous découvrons un niveau de vie bien plus élevé que chez nous et nous savourons les déplacements en voiture électrique. Nous sommes assez surprises par le peu de monde dans les grandes rues d’Oslo.
Leurs maisons sont pour la plupart très jolies, gigantesques et surtout très lumineuses (éteindre la lumière ne fait définitivement pas partie de la culture norvégienne). Pour leur défense il ne doit pas y avoir beaucoup d’heures d’ensoleillement en hiver !
Nous sommes marquées par leur école bien plus « relax » que la nôtre. En effet les journées finissent à 15h au plus tard et rien ne semble interdit : ni téléphones, ni chewing-gums, ni même la musique dans les oreilles pendant les compréhensions orales d’anglais ! On les envie !
Entre les nombreuses visites organisées par les professeurs (musée de Munch, tremplin de ski Holmenkollen, musée folklorique, etc) et les batailles de boules de neige (encore plus nombreuses), on n’a pas le temps de s’ennuyer !
Cette semaine, c’est beaucoup de rires, de rencontres, de supers souvenirs entre amis et des progrès en anglais bien sûr !
Nous on retient aussi les bonnets de Mr Crespellière, les rires communicatifs de Mme Crespo et le nez rougi par le froid de Mme Jacquelinet. Et on les remercie tous très fort pour ce super voyage !
Avion, train, métro … nous ont permis de cheminer le matin jusqu’à notre hébergement à l’église et au couvent Français de la Trinité-des-Monts. Il a fallu apprendre parfois la patience pour retirer les billets ou attendre le train. Nous avons été récompensés par un accueil chaleureux de la communauté de l’Emmanuel et une vue époustouflante sur Rome. Sans compter le calme et la verdure de très beaux jardins. L’après-midi, c’est l’installation dans les chambres puis une courte promenade sur la place d’Espagne. Une petite glace au goûter est la bienvenue. Le célèbre escalier de la Trinité des Monts est plus facile à remonter sans les valises ! Cerise sur le gâteau : nous passons entre les gouttes d’un nouvel orage. Retour à la Trinité pour écouter le témoignage de Sœur Brigitte Flourez, des sœurs de l’Enfant Jésus Nicolas Barré. L’échange est riche autour de la vie à Rome, du quotidien d’une sœur (elles ont même le droit de regarder la télé !) ou des voyages pour visiter les sœurs de différents pays. Nous suivons la messe dans la belle église de la Trinité des Monts. Le repas enfin est attendu et fêté. A. Bellec
JOURS 2 ET 3
Pour les pèlerins de Rome, deux jours très riches viennent de passer. Hier, nous nous sommes rendus à la basilique Saint-Pierre au Vatican. Descendre près du tombeau de l’apôtre et se recueillir près de ceux des papes a été un grand moment de bonheur. Richesses artistiques : la Pietà de Michel-Ange, le Baldaquin du Bernin, … Pique-nique près du château Saint-Ange, puis promenade jusqu’à la place Navone. Visite de la villa Médicis qui a permis aux élèves de mieux comprendre les liens artistiques entre la France et l’Italie. Aujourd’hui une longue marche priante dans Rome. Première halte : Sainte-Marie-de-la-Victoire : comprendre l’art et la spiritualité du mouvement Baroque avec l’extase de sainte Thérèse du Bernin. Deuxième halte : la basilique Sainte-Marie-Majeure, où le peuple romain et les pèlerins honorent ensemble la mère de Dieu. Une longue pause de midi est la bienvenue : fontaine, toilettes et foot. L’après-midi : visite de la basilique Saint-Jean-de Latran et de l’église Saint-Clément. Retour par le Colisée et la fontaine de Trévi : pauses photos pour tout le monde ! Repas du soir. Un moment de grâce à la veillée d’adoration en l’église de la Trinité. Nous finissons la journée par une petite glace. A. Bellec
A l’occasion du chapitre d’histoire sur le monde des cités grecques dans l’antiquité, les élèves de 6e D ont revécu, le temps d’une séance, la célèbre bataille de Marathon qui vit la cité d’Athènes défaire l’invincible armée Perse. « Au premier signal, les Athéniens franchirent en courant cet espace. Les Perses, les voyant accourir, se disposèrent à les recevoir ; mais remarquant que, malgré leur petit nombre et le défaut de cavalerie et de gens de trait, ils se pressaient dans leur marche, ils les prirent pour des insensés qui couraient à une mort certaine. Les barbares s’en faisaient cette idée ; mais les Athéniens les ayant joints, leurs rangs serrés, firent des actions mémorables. Ce sont, autant que nous avons pu le savoir, les premiers de tous les Grecs qui aient été à l’ennemi en courant, qui aient envisagé sans effroi l‘habillement des Perses, et qui aient soutenu la vue de leurs soldats, quoique jusqu’alors le seul nom de Perses eût inspiré de la terreur aux Grecs » (Hérodote Histoire).
Reconstituer la bataille : comment la bataille s’est-elle déroulée ?
Dans un premier temps, les élèves ont pu observer le terrain et le déploiement de la bataille. Puis les pages consacrées à cette bataille dans le roman le messager d’Athènes (d’Odile Weulersse), que les élèves ont lu à l’occasion de ce chapitre, ont été lues à haute voix. Les élèves ont pu voir les troupes évoluer sur le champs de bataille au fur et à mesure du récit, jusqu’à son dénouement.
Simuler la bataille : et si tout s’était passé autrement ?
Quatre élèves ont pu ensuite se mesurer à l’histoire : pourraient-ils faire mieux que les protagonistes d’origine ? Aidés de leur enseignant, en s’appuyant sur une règle de simulation de batailles antiques, les quatre élèves ont construit leur stratégie pour tenter de faire vaincre leur armée. Ce n’est que partie remise !
C’est finalement la sonnerie qui a mit fin aux hostilités, à la grande frustration des généraux qui auraient voulu savoir qui des Perses ou des Athéniens auraient vaincu dans cette relecture de l’histoire. Pourquoi pas pour une prochaine fois ?
Ce mardi 14 mars 2023, les élèves de 4ème du dispositif Rebond ont pu découvrir le projet et les métiers des futures lignes de métro du Grand Paris Express à la Fabrique du Métro à Saint-Ouen (93).
C’est un architecte, spécialiste en construction souterraine et urbanisme, qui nous a guidé. Les élèves ont d’abord découvert les différents aspects d’un projet hors normes qui va modifier les façons de se déplacer, de travailler ou de se soigner en Ile-de-France. Ils ont ainsi pris la mesure du défi technique que représente le creusement de 185km de lignes de métro à 50m de profondeur. Ils ont apprécié de monter dans le prototype d’une rame du futur métro et de déambuler sur le quai d’une gare reconstituée à échelle réduite. 1 000 passagers par rame, des métros automatiques qui circulent à 110km/h sur certains tronçons : certains chiffres les ont impressionné et leurs professeurs aussi !
Tout au long de la visite, notre guide nous a présenté les très nombreux métiers qui interviennent directement ou indirectement sur le chantier du Grand Paris Express : géomètre-topographe, cheffe de chantier, carreleur, menuisier, graphiste, électricien, chauffeur routier, responsable du centre d’exploitation, mineur-boiseur, architecte des gares, …
Une visite enrichissante qui a permis aux élèves de découvrir l’un des plus grands chantiers de travaux publics en Europe et de connaître des métiers dont ils ne ne soupçonnaient pas l’existence.